mercredi 25 janvier 2012

Insensé d'arbitraire, de sénilité.

Il n'y a de justice que celle prononcée par les instances judiciaires dans le cadre de l'application de la loi, en assurant les garanties de défense légales prévues dont l'innocence ne peut aucunement être mise en doute, faute d'une sanction arrêtée à leur encontre, dans le cadre de procès justes civils, conduits par les instances compétentes légalement constituées.

Toute menace envers ses concitoyens, en faisant des apports de citations, hors de leur contexte, ne peut être qu'un abus doctrinaire, contre toute logique sociale de droit.
L'Etat de droit ne peut souffrir de préjugés d'obscurantisme, de barbarie d'actes au nom d'idées ténébreuses de gens insensés, vivant, en marge de la civilité, du droit et de l'esprit de justice et d'ordre social républicain.
L'ère des préjugés, des procès d'église, de persécution et d'autodafé est depuis des siècles dépassé, et par l'humanité toute entière condamné.
Terroriser ses concitoyens ne peut être qu'un acte répréhensible sanctionné par le droit, le bon sens, la civilité et de vie communautaire démocratique, dans un esprit républicain. 
Les jugements justes ne peuvent être prononcés, qu'exclusivement par les tribunaux, au nom de la loi, consacrant la dignité de l'homme, ses libertés, dans le respect de la souveraineté populaire, la citoyenneté.
La Tunisie a adhéré à toutes les conventions internationales, condamnant les atteintes à la personne humaine et son intégrité physique, morale et mentale, elle a souscrit au respect des droits de l'homme, et aux droits citoyens.
La société ne peut rester indifférente aux atteintes aux libertés que des groupes hors la loi se permettent en toute impunité, sous un silence répréhensible, des autorités.