dimanche 20 janvier 2013

La bonne gouvernance et la participation

On parle de bonne gouvernance dans le domaine de la gestion notamment de la chose publique, impliquant des gouvernants et des gouvernés. Celle-ci intéresse de plus en plus de questions allant du local, au régional pour concerner le cadre national.
Comment peut-on la définir et en définir et en délimiter les contours et la portée institutionnelle, constitutionnelle, d'implication, d'application et d'obligation de résultat.
Alors que le concept de l'appropriation privée part du principe général de sa définition de droit: usus, fructus, abusus, qui légitimise l'action en la ramenant à la liberté de disposition, à son gré, en limitant la responsabilité et la sanction au libre arbitre.
Par contre, gouverner, c'est prévoir, une obligation de résultat préside à l'action publique, en l'impliquant dans le choix de l'action, la mobilisation des moyens, la conformité juridique et la régularité de l'engagement et de la procédure à tous les stades de mise en oeuvre matérielle et humaine, le suivi de l'exécution et la responsabilité, à toutes les étapes de la réalisation, une obligation de résultat comptable autant pour les conséquences que pour les répercussions et projections de l'action publique.
La sanction accompagne et couvre tout le processus partant de la prise de décision, la programmation, la mise en oeuvre et de mobilisation des moyens jusqu'à l'aboutissement de l'action et sa concrétisation.