mercredi 28 novembre 2012

Morale, Histoire et Droit.


Alors que la morale s'adresse à la conscience, l'histoire au passé le droit a ses bases et ses principes.
Tout législateur ne peut légiférer sans s'attacher au sens et à l'essence du droit, ses principes la justice.
Parmi les principes de base du droit se trouve la sacro-sainte règle de la non rétroactivité.
Que l'on ne peut légiférer que pour l'avenir, les faits et actes
 du passé ne répondent que de ses normes.
La seule exception permettant l'application de la rétroactivité se trouve pour les faits et actes en cours de considération judiciaire, qu'il est jugé que les nouvelles dispositions de droit bénéficieraient au prévenu mieux que les stipulations de la loi en force. 
S'attaquer au passé ne peut répondre que d'une appréciation de conscience de morale et non de droit.
Que ceux qui sont en conscience de mettre en oeuvre une constitution, la loi suprême, en soient imbus de science et de conscience juridique en respectant le droit et ses principes.
Qui ne peut le moins ne pourra forcément pas le plus, s'il s'attache au passé, il ne peut construire, encore moins légiférer pour l'avenir.