lundi 9 novembre 2015

La contribution des assurances à la mobilisation de l'épargne en faveur du développement

L'Assurance et la réassurance, qui s'intégrent nécessairement dans le prix de revient des producteurs, grèvent la compétitivité du produit
Le cout de l'assurance reste prohibitif, notamment dans des secteurs déjà en difficulté, qui ne peuvent soutenir la concurrence et assurer aisément, l'autofinancement, de leur cycle de production (notamment l'agriculture, dont seuls 7% des intéressés recourent à l'assurance de leur production, ......).
Appeler à augmenter la (pression fiscale, par assurances entreposées) en vue de permettre aux assurances "de contribuer au financement des projets de développement" ne peut poser que plus de difficultés aux producteurs et entraver le cycle de production, qu'ils ne peuvent en dégager de ressources pour le financement, et leur contribution à la croissance..

Facteurs de production et la traction du développement


Lorsque l'administration devient un frein au développement, la boutade de l'armée mexicaine le prouve, les secteurs productifs sont seuls créateurs de richesses, y compris dans les services, trop de paperasses ne peut qu'étouffer la machine productive, alimenter la corruption, relancer l'inflation, amenuiser le pouvoir d'achat, dévaluer l'apport de la force de travail du pays.
La création de 150 000 postes d'emploi, durant la transition en Tunisie, dans l'administration publique, n'a eu d'effet que de mettre un boulet à la cheville du développement du pays et à ralentir sa croissance.
La remise en marche de l'appareil de production et de la création sont seuls à même de relancer la machine remettre le pays en ordre de vie, charger les charrues, ne peut les faire avancer, si la locomotive de traction ne peut les porter.
Les besoins du marché de l'emploi en expertise, appelle à réhabiliter la masse de chômeurs et l'adapter aux profils nécessaires pour faire reprendre et relancer le moteur du développement économique, social, culturel, artistique, éducationnel, faire reprendre au pays sa marche selon les besoins de chaque région, tenant compte de ses capacités et ses aptitudes répondant à ses facteurs de production, sa contribution pour élever son efficacité de participation à l'effort commun et relever le défi et la gageure de réussir notre transition